Violette Astier

Violette Astier élabore sa pratique entre écriture, performance et sculpture.  En 2012 elle écrit un texte* constitué d’analogies détaillées entre poèmes et objets dont le point de départ était une recherche sur la poésie et l’art concrets au Brésil. Ce travail a eu pour suite une expérimentation plastique à partir du poème lygia fingers d’Augusto de Campos ; la tapisserie Machine à écrire : dedat illa(grypho), 2014, en est une interprétation spatiale. En 2017 sur l’invitation d’Anka Ptaszkowska elle  l’expose dans l’atelier d’Eustache Kossakowski à Paris. En 2016, sur l’invitation d’Élia Pijollet et Jean-François Chevrier, elle réalise une performance au musée Unterlinden, KIEPJA, qui a pour objet le chant de la dernière survivante du peuple Selk’nam. En mars 2019, elle réalisera une exposition à propos de ce même personnage, mettant en rapport performance et sculptures, à Paris dans le nouvel espace des éditions l’Arachnéen**.

«Une mélodie continue disloquée d’un instrument à l’autre en changeant constamment sa couleur»

C’est dans ces termes qu’Augusto de Campos décrivait le principe de la Klangfarbenmelodie de Webern qu’il cherchait à transposer dans la poésie.
Agit ce principe de dislocation,
ntre l’espace fantasmatique et l’espace physique
Lima et Milan
l’espace de l’écriture et celui de l’atelier
le cirque et la mer
le Brésil et la Flicardie,
au cœur de mes tentatives.

 

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